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Téléchargement PDF Catwoman Eternal tome 1

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Catwoman Eternal tome 1

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Catwoman Eternal tome 1

Détails sur le produit

Broché: 176 pages

Editeur : Urban Comics (18 septembre 2015)

Collection : DC Renaissance

Langue : Français

ISBN-10: 2365777740

ISBN-13: 978-2365777742

Dimensions du produit:

26,5 x 1,5 x 17,5 cm

Moyenne des commentaires client :

3.7 étoiles sur 5

4 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

247.129 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

A la fin du catastrophique run précédent, Catwoman est laissé de côté par Selina Kyle pour diriger la famille Calabrese (voir Batman Eternal), on troque donc un comics coloré, bordélique et tout simplement inintéressant pour un comics sombre et mature. Cet Eternal Tome 1 est effectivement déroutant car le virage à 180 degrés peu/va surprendre les fans de la féline. En effet hormis 2 ou 3 références au personnage de Catwoman, le comics est tellement sombre, lent et réfléchit, il est quasiment impossible de faire le lien avec le comics précédent. Nous avons bien là une renaissance, pas de cabrioles toutes les pages mais bel et bien une Selina, froide, calculatrice qui se doit de faire des choix, c'est très déroutant aux premiers abords mais la qualité étant au rendez vous, on se laisse prendre au jeu. A noter aussi que le style graphique est... particulier, pas particulièrement fan, il faut admettre qu'il sert au moins le propos. Tout simplement un très bon comics. L'heure de la rédemption pour la série Catwoman a sonné.

Ce tome contient les épisodes 35 à 40, ainsi que le numéro annuel 2, initialement parus en 2015, écrits par Geneviève Valentine. Garry Brown a dessiné et encré les épisodes 35 à 40. En fonction des séquences, le numéro annuel est dessiné par Pat Oliffe, Tom Nguyen et John McCrea.À la fin de "Batman Eternal", Selina Kyle se retrouve placée à la tête d'une des familles mafieuses (les Calabrese) de Gotham, chapeautant une partie des autres familles associées au crime dans cette ville. Alors que les cellules de texte rapportent des propos de la reine Elizabeth adressés à Francis Walsingham (chef des espions de la reine) en 1570, Selina Kyle met fin à un vol de marchandise dans l'un des entrepôts des Calabrese, avec l'aide d'Antonia et Nick Calabrese. Puis elle préside une réunion avec une demi-douzaine d'autres familles, pour mettre au point une vente d'armes.Il s'avère qu'ils ont besoin des prestations d'une autre famille à la tête d'activités illégales et criminelles, les Hasigawa. Il lui revient d'en rencontrer le patriarche, ainsi que sa fille Eiko Hasigawa. Au commissariat central de Gotham, Carlos Alvarez évoque ses suspicions vis-à -vis de Selina Kyle, avec sa collègue Tammy Keyes. Blackmask (Roman Sionis) est de retour en ville et compte bien se faire une place au soleil. Une nouvelle Catwoman se promène sur les toits de Gotham.Ce tome marque une réorientation complète de la série il n'est donc pas besoin d'avoir lu les précédents, les récits d'Ann Nocenti (la précédente scénariste) étant évacués, pour une dynamique entièrement différente dans un premier temps le lecteur doit s'accrocher pour assimiler les informations, et retenir les noms des personnages. Geneviève Valentine et Garry Brown entraînent le lecteur dans un polar sur fond d'activités criminelles, avec une intrigue assez éloignée de des conventions des superhéros, et des dessins encore plus.Garry Brown a, entre autres, illustré la majeure partie de la série The Massive de Brian Wood. Il réalise des dessins assez râpeux. Il encre ses dessins en les tirant légèrement vers l'expressionnisme. Ses coups de pinceaux (réels ou infographiques) évoquent parfois des traces de marqueurs ne se chevauchant pas avec précision, ou des coups de pinceaux larges et rapides. Il en découle une impression mélangée, entre imprécision, croquis sur le vif, et atmosphère pesante. En surface, ces dessins ne sont pas beaux, les visages sont comme dessinés à gros traits. Les lignes servant à détourer les contours ne sont pas toujours jointives.À condition de réussir à passer outre cette apparence peu séduisante, le lecteur constate que cet artiste attribue des morphologies normales aux individus (pas de musculature hypertrophiée, pas de courbe exagérée), qu'il varie les tenues vestimentaires, de costumes et robes de soirée, à T-shirt et jogging. Si les décors semblent esquissés, ils sont régulièrement présents en arrière-plan, avec une fréquence supérieure à la moyenne des comics de superhéros, et établissent les environnements dans leur variété : entrepôt rempli de caisses, salle à manger monumentale avec grande hauteur sous plafond, grande halle aménagée en centre d'entraînement pour hommes de mains, salle de réception dans un musée, terrasse de penthouse, rue malfamée, rue commerçante, bureau étriqué au commissariat, grand bureau avec baie vitrée pour Blackmask, etc.Garry Brown marie avec un naturel déconcertant des dessins à l'apparence esquissée, pas tout à fait finie, avec une densité et une variété d'informations visuelles suffisantes pour que le lecteur puisse voir les différents environnements, et observer des personnages à l'identité graphique suffisante pour les reconnaître aisément. Le numéro annuel commence avec les dessins de Pat Oliffe, plus propres sur eux, avec un aspect plus soigné et plus fini, et un niveau de détails équivalent. Il y a un rapprochement visuel vers l'esthétique des comics de superhéros, mais ce glissement n'est pas assez important pour rompre l'ambiance rêche de ce polar. Les dessins e Tom Nguyen sont plus proches de ceux de Brown, avec un aspect un peu plus précis, et un niveau de détails équivalent. Par comparaison avec ceux de Brown, ils semblent un tout petit peu plus fades, un tout petit peu plus convenus. Soit John McCrea n'a pas dessiné beaucoup de pages, soit il a fait un effort impressionnant pour se couler dans le moule de Brown et Nguyen, au point qu'il est difficile d'identifier les pages qu'il a réalisées, qui ne portent pas sa marque pourtant d'habitude caractéristique.Garry Brown met donc en scène des individus aux contours rêches, souvent mangés par des bouts d'ombre aux contours cassés, visuellement difficiles à cerner, dans des environnements urbains ou des intérieurs aux agencements remarquables. Cette approche visuelle sied bien à la nature de l'intrigue. Geneviève Valentine hérite d'un cadeau à double tranchant : une situation inédite pour Selina Kyle. C'est un avantage puisqu'elle peut développer son récit sans être embarrassée par la continuité, dans une direction assez originale.Elle dépeint les difficultés de Selina Kyle à diriger une famille mafieuse, à imposer sa légitimité auprès d'autres familles, à défendre leurs territoires, à poursuivre les affaires illégales et criminelles, tout en progressant vers son propre objectif. En 6 épisodes et un annuel, la scénariste parcourt un chemin impressionnant puisqu'il faut établir la situation de Selina Kyle, présenter les personnages gravitant autour d'elle, ou s'opposant à elle, ou les deux en même temps, exposer les enjeux et les objectifs de Selina Kyle, montrer les difficultés auxquelles elle se heurte, mettre en lumière les dilemmes moraux qu'elle doit trancher (entre se compromettre, ou compromettre sa position). De ce point de vue, elle place son personnage dans une position moralement ambigüe et difficilement tenable, avec une motivation solide et claire qui explique et justifie son comportement.Afin de consolider les tactiques et les stratégies de Selina Kyle, l'auteure cite des extraits de textes historiques. Il y a donc des lettres rédigées par la reine Elizabeth, par le pape Rodrigo Borgia, par Li Bai, par César Borgia et par Plutarque. D'un côté, il s'agit d'une idée pertinente dans la mesure où ces citations évoquent la situation de femmes de pouvoir célèbres confrontées à des choix complexes impliquant des sacrifices pour pouvoir se maintenir au pouvoir, et avancer les affaires du royaume ou du gouvernement dans la direction qu'elles souhaitent. Le lecteur y voit à la fois le reflet de la situation de Selina Kyle, et à la fois la légitimité de ses actions. D'un autre côté, les situations évoquées dans ces écrits ne sont pas forcément connues dans le détail par le lecteur, et ne se transposent pas de manière directe aux décisions prises par Selina Kyle, ce qui amoindrit leur pertinence et leur portée.Geneviève Valentine est plus convaincante pour montrer la nasse de contraintes qui enserre les personnages. Selina Kyle compromet ses idéaux pour pouvoir se maintenir et progresser dans la direction voulue. Les personnages autour d'elles sont sympathiques dans la mesure où ils la soutiennent, mais aussi détestables parce qu'ils appartiennent au milieu criminel et qu'ils n'hésitent pas à se salir les mains, de la violence comme moyen d'intimidation jusqu'au meurtre. La scénariste joue avec habileté sur les sous-entendus pour que les décisions et les actes de Selina Kyle apparaissent, pour le lecteur, comme aussi immoraux, par exemple ordonner l'exécution d'un traître, mise en Å“uvre par sa propre sÅ“ur.Valentine gère avec intelligence le personnage de Catwoman, et ses attaches avec le superhéros le plus célèbre de Gotham. Elle fait en sorte que la nouvelle occupation de Selina Kyle soit une mission à temps complet, ce qui lui permet d'introduire une nouvelle Catwoman, dont les liens avec la titulaire habituelle sont organiques et logiques. Elle remplit l'obligation évidente d'une apparition de Batman, en la limitant au strict nécessaire, tout en le positionnant comme garde-fou moral. Garry Brown le représente comme une ombre, une présence fugace et indiscernable, ce qui évite de ramener le récit vers une ambiance trop superhéros. Elle utilise le numéro annuel pour présenter et étoffer le personnage d'Eiko Hasigawa qui remplit un rôle de premier plan dans l'intrigue.Ce tome constitue un nouveau départ pour la série, avec un ton original, dans une direction inattendue, et cohérente avec le personnage, soutenue par des dessins éloignés de l'esthétique des superhéros, avec un aspect brut de décoffrage qui accentue l'ambiance délétère et dangereuse des situations. La scénariste décrit bien les stratégies mises en Å“uvre par Selina Kyle, et les risques encourus, ainsi que le prix à payer en termes de compromission. Par contre elle a du mal à rendre palpable les escarmouches ou les confrontations entre gangs, ou encore à rendre compte de la dimension des familles, de leur effectif et leur activités criminelles.

Sous ce titre inédit de Catwoman Eternal, ce premier tome s’avère en fait être purement et simplement le sixième de Catwoman ! Urban Comics profitant du changement d’équipe artistique (enfin !) et du nouveau statu quo de notre héroïne (plutôt prometteur) pour rebooster les ventes et repartir au tome #1. Mais nous trouvons, ici, la suite de la série, massacrée, par Ann Nocenti, avec les épisodes #35 à 40. Le même procédé pour Le Règne de Swamp Thing #1 qui n’était en fait qu’un Swamp Thing #4 dissimulé.Suite aux événements récents survenus dans Batman Eternal, Selina Kyle a fini par accepter ses responsabilités familiales pour enfin embrasser la carrière de reine de la pègre de Gotham. Mais la ville est-elle prête pour son règne ? Et si l’ex-héroïne masquée agit désormais à visage découvert, qui parcourt depuis les toits désertés de la cité ?(Contient les épisodes #35 à 40 et annual #3)Je n’ai pas pu me jeter de suite sur ce tome, non pas que le dernier tome donnait envie de prolonger l’aventure, plus par curiosité de découvrir ce nouveau statu quo, mais sa publication gâchait et spoliait, quelque peu, les événements de Batman Eternal.En effet, durant cette énorme saga, Selina Kyle apprenait qu’elle était en fait une Calabrese ! L’une des plus vieilles et des plus influentes familles de la pègre à Gotham. Après une courte hésitation, notre féline héroïne accepta de reprendre les rênes de la famille, et par la même celle de la pègre gothaminenne !Bien évidemment, une telle prise de pouvoir, alors qu’elle était encore, il y a peu, de l’autre côté de la barrière n’est pas une chose aisée à faire avaler. Si la plupart des familles s’allient, sans trop rien dire, à Sélina et sa famille (notre héroïne étant bien entourée par trois cousins/cousines), certains refusent cette nouvelle suprématie, bien décidés à agir dans l’ombre, ou non, pour la renverser immédiatement.Genevieve Valentine nous propose une intrigue sur un rythme bien plus lent et moins tape à l’œil que ce que nous avions avant. Sélina ne saute plus de toit en toit mais agit à visage découvert face à des menaces bien plus dangereuses que ce qu’elle a déjà vécu. Obligée de prendre certaines décisions qui vont lui fendre le cœur ! Mais c’est un jeu obligé si l’on veut gouverner et rester sur le trône.En tête de ses ennemis, nous retrouvons Black Mask, un adversaire qu’elle ne connaît que trop bien ! C’est à travers l’alliance avec le clan Hasigawa, qui contrôle le port, que leur confrontation va s’articuler. Tous les coups sont permis, allant jusqu’à utiliser la police, mais l’arrivé d’un troisième joueur et l’apparition d’une nouvelle Catwoman risquent de bouleverser les plans de Sélina…Qu’il est plaisant d’ouvrir un tome Catwoman version New52 et d’y retrouver une intrigue palpitante, prenante, intelligente et ne surfant pas uniquement sur le côté sexy et sensuel du personnage. Catwoman prend un virage radical et cela lui va bien, malgré ses doutes et ses incertitudes. Pour ancrer un peu plus son personnage dans le rôle d’une femme forte et de pouvoir, Genevieve Valentine fait de la Reine Elizabeth ou encore de la duchesse Lucrèce des moteurs pour notre héroïne.Graphiquement, autant le dire tout de suite, le style de Garry Brown ne me parle pas du tout, je le trouve même assez freinant pour m’immerger dans l’histoire. Un style brouillon, avec beaucoup de traits ne nous permettant pas de nous attacher aux personnages. Seuls restent les gros plans, où les traits se font un peu plus clairs.Bref, ce n’est pas parfait (dessins, la nouvelle relation de Sélina sortant de nulle part..) mais il faut dire que dès son premier épisode, Genevieve Valentine redresse la barre, nous propose quelque chose de lisible, de bon et qui mérite que l’on s’attarde sur la suite.

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